30 août 2009

Chromium, c'est pas mal en fait !

Chromium, penchant libre de Google Chrome, a l'avantage d'être en version stable pour le moment sous Linux, j'ai donc décidé (depuis le temps) de le comparer à mon fidèle Firefox.
Après quelques bidouilles pour ajouter le support du flash, et une extension similaire à adblock pour virer les pubs. Je me retrouve avec deux navigateurs aux fonctionnalités similaires (sauf que Chromium est en anglais).
Dans Chromium j'aime bien l'interface très épurée, surtout les onglets situés dans la barre de la fenêtre, et la page des favoris. Il présente à première vu, ce pourquoi j'ai eu besoin de plugins sous FF. Je lance alors plusieurs pages : pages lourdes en images, sites chargé, contenus flash : Rien à dire la vitesse d'affichage est largement superieure.
C'est un navigateur bien sympatique, mais il lui manque quelques intégrations au système (java, moonlight, lecteur video, ...). Je reste avec mon Firefox, mais je garde Chromium de côté !

24 juillet 2009

Deezer v3 et flash sous Ubuntu

Un petit billet, juste pour l'actualité, Deezer est passé en v3 définitivement, on ne peut plus acceder à la v2. Or celui ci utilise les fonctionnalités des dernières versions de flash.
Utilisant flash 64bit, la solution la plus simple a été de rajouté à la main la lib :
64bit :: télécharger le fichier sur http://labs.adobe.com/downloads/flashplayer10.html
et placer le fichier *.so dans ~/.mozilla/plugins pour votre utilisateur ou /usr/lib64/mozilla/plugins pour l'ensemble du système
32bit :: même manip à ce lien, mais autant utiliser le paquet deb.

07 juin 2009

Google Chrome disponible sous Linux !

Google vient de publier une version Linux de son navigateur (empaqueté en deb) disponible sur le site. Il y a également une version pour Os X (intel seulement). Cependant ces installations (prévues pour les développeurs) sont pour l'instant instables et ne comportant pas toutes les fonctionnalités, mais suffisent pour tester le navigateur.

02 juin 2009

Regler les problèmes de signature des dépôts

Voilà juste un lien vers quelque chose que je trouve intéressant.
Récemment, je voulais passer à la nouvelle version d'Amarok 2.1, j'ai donc ajouter les dépôts de kde expérimentaux de PPA, mais un problème de clé est survenu, je n'ai pas trouvé la clé mais ce script bien utile, sur ce blog :
http://www.respawner.fr
#!/bin/bash
sudo aptitude install curl
for i in `cat /etc/apt/sources.list | grep "deb http" | grep ppa.launchpad | grep jaunty | cut -d/ -f4`; do
curl `curl https://launchpad.net/~$i/+archive/ppa | grep "http://keyserver.ubuntu.com:11371/pks/" | cut -d'"' -f2 ` | grep "pub " | cut -d'"' -f2 >> keyss
done
for i in `cat keyss` ; do
curl "http://keyserver.ubuntu.com:11371$i" | grep -B 99999 END |grep -A 9999 BEGIN > keyss2
sudo apt-key add keyss2
rm keyss2
done
rm keyss
Remarque : Sur le blog il s'agit d'un intrepid, ici j'ai remplacé par jaunty !

25 avril 2009

Swap : Fichier d'échange

A l'installation d'une distribution, on nous recommande de créer une partition SWAP. Ce qui est bien utile mais nous oblige à créer une nouvelle partition. L'idée serait donc de créer un fichier sur le disque dur (comme le fait Windows) qui soit monté comme un système de fichier SWAP.
  • Cette technique a les avantages d'être plus simple quand on veut supprimer ou modifier la taille de la SWAP. Si vous avez suffisamment de RAM pour que la SWAP soit peu sollicitée, cela peut être utile !Tout d'abord, il va falloir créer le fichier (rempli de "zero", voir /dev/zero) avec la commande dd, ce fichier s'appelera par exemple pagefile.sys ou memfile.swap et sa taille sera entre la moitié et 1Go moins que votre RAM (pour 3G0 de RAM on peut créer 1,5 à 2Go de swap en fonction de l'usage par exemple). Tout ceci se fait en une ligne (je place le fichier à la racine, il ne gène personne et on ne l'oublie pas ainsi) :
    sudo dd if=/dev/zero of=/memfile.swap bs=2G count=1

    La commande dd utilise la RAM pour créer les fichiers, si vous n'avez pas assez de RAM, il se peut qu'une erreur se produise, dans ce cas on peut effectuer le traitement en plusieurs fois avec count, pour le même exemple on va créer un fichier de 2Go en 2 fois :
    sudo dd if=/dev/zero of=/memfile.swap bs=1G count=2

    Si après coup, vous vous apercevez que votre SWAP est peu sollicitée, vous pouvez recréer le fichier avec une taille moins importante (et cela sera transparent pour les étapes suivantes).
  • Maintenant il faut écrire le système de fichier de type SWAP sur notre fichier :
    sudo mkswap /memfile.swap
  • Le fichier est près, il ne reste plus qu'a prevenir le noyau qu'il a de la SWAP à disposition :
    sudo swapon /memfile.swap

    Analogiquement : swapoff /memfile.swap pour désactiver le fichier d'échange.
    Vous pouvez aller vérifier dans votre moniteur système, la SWAP est là !
  • Enfin, il ne nous reste plus qu'a rendre ce fichier d'échange permanant en le montant directement au démarrage de la machine. Comme d'habitude celà se passe dans fstab :
    sudo gedit /etc/fstab (remplacez gedit par votre éditeur)
    et on ajoute les lignes :
    #Fichier SWAP
    /memfile.swap none swap sw 0 0

24 avril 2009

Tmpfs : Monter une partition dans la RAM

Tmpfs est un système de fichier temporaire qui se monte dans la RAM. L'utilité directe n'est pas le stockage mais plutôt les dossiers temporaires, plus précisément /tmp étant donné que les transferts dans la RAM sont plus rapides que sur un disque dur. Personnellement je place aussi le cache de Firefox dans le dossier /tmp; Il y a d'autres dossiers ou fichiers qu'on pourrait placer dans la RAM, à vous de chercher !

  • La procédure est simple, cela se fait avec mount :
    sudo mount /tmp -t tmpfs -o size=128M tmpfs

    Si vous monté votre tmpfs dans un repertoire créé par le root, n'oubliez pas de lui donner les autorisations en lecture, écriture et exécution sinon vous ne pourrez pas l'utiliser directement !
  • Pour monter le tmpfs au démarrage, rajouter dans /etc/fstab :
    # Dossiers et Fichiers Temporaires montés dans la RAM
    # /tmp
    tmpfs /tmp tmpfs defaults,size=96M 0 0

    Vous n'avez qu'a modifier le repertoire et la taille, le reste ne change pas.

05 février 2009

How To: installer la fmod Ex sur linux?

Avant propos : Ce tutoriel n'est qu'une mise à jour d'un ancien billet intitulé How To: installer la fmod 3.75 sur linux?, dans lequel je parle de la fmod au détriment de la fmod Ex. Dans l'ancien billet je fonctionne sur un Ubuntu 32bits, maintenant c'est un 64bits. Il faut savoir que la fmod 3 est maintenu à la derniere version stable c'est à dire la 3.75. La fmod Ex est plus puissante mais plus lourde, et finalement la fmod 3 reste mieux pour appliquer trois sons à deux events sur un mini jeu en 2D, façon de parler ! Dans ce cas retournez sur l'ancien tutoriel sinon je vous invite à lire la suite (la première est peu changée) ...
if(dont_want == BLABLA) goto partie2 ;

Tout d'abord, qu'est-ce que la fmod?
Sans rien vous cacher, je peux vous dire que c'est une library qui...
...Qu'est-ce qu'une library?
Une library (je ne l'écris pas librairie car le mot library se traduit bibliothèque en français) est - en programmation bien sûr - un ensemble de fonctions qui ont un but commun et qui peuvent s'appeler entres-elles, ces fonctions ou procédures sont déclarées par des fichiers d'en tête (en anglais header *.h) inclues par le développeur s'il en a besoin dans son code.
Qu'elle est la particularité de la fmod en tant que library ?
La fmod est tout simplement une library très puissante qui gère le son (musique, bruitage) et les effets sonores. De plus elle est portée sur une multitude de platforme.
Mais la fmod n'est pas libre...
Donc sa spécialité, c'est le son et elle marche aussi bien sur PC que sur Mac si j'ai assimilé?
En effet c'est presque ça, sauf que par multiplatforme j'entends différents systèmes d'exploitation, par exemple MS-Windows, GNU/Linux, Mac OS, mais j'entends aussi quelque chose qui va vous étonner : des consoles de jeu.
Mais comment fait-elle pour que le fichier soit lisible sur tout ça?
Quand on code un programme, on tape des commandes bien sûr, et entre autre des commandes pour les accès aux sons si on veut en utiliser (par exemple charger un fichier audio, le lire, ...), ces fonctions sont toujours les mêmes tant qu'elles sont dans le code source, cependant le fichier library lui varie en fonction de la platforme, c'est comme ça cela qu'on peut compiler les fonctions de cette library dans notre programme, dans un format binaire compréhensible par la machine ou le système.
J'énumère donc les treize différentes platformes que supporte la fmod:
- Windows 32bit
- Windows 64bit (AMD64)
- Linux
- Linux 64bit (AMD64)
- Macintosh (os8/9/10/x86)
- Windows CE (Pocket PC / Smart phone)
- Playstation 2
- Xbox
- GameCube
- Xbox 360
- Playstation Portable
- PLAYSTATION®3
- Wii

La bibliothèque et ses en-têtes pour chaque platforme respective sont téléchargeables sur le site de la fmod dans la section download (si ce n'est pour les consoles où une documentation est complémentaire).


Comment installer la fmod?

Pour commencer, il va falloir récupérer la library : FMOD Ex linux. Dans l'archive, seul le dossier api nous intéresse (vous pouvez consulter le reste: c'est de la documentation et des exemples), et dans ce dossier seul le fichier *.so qui représente la bibliothèque de fonction et le contenu du dossier inc qui contient les headers vont nous servir. Le mieux est de les décompresser sur un endroit visible comme le bureau ~/Bureau.

Cette version de la fmod possède un Makefile qui permet de l'installer dans les répertoires du système et qui se résume à ça pour l'installation :

echo "Installing FMOD Ex libraries and headers..."
cp -f api/lib/libfmodex64-4.22.02.so /usr/local/include/fmode
cp -f api/lib/libfmodexp64-4.22.02.so /usr/local/include/fmode
ldconfig -n /usr/local/lib
mkdir -p /usr/local/lib
cp -f api/inc/*.h* /usr/local/lib
echo "done."
Pour lancer l'installation tapez make install dans un terminal dans le repertoire du makefile.
S'il ne marche pas, copiez collez ce code dans un fichier texte et appelez le install.sh par exemple et rendez le exécutable (chmod u+x install.sh dans un terminal ou proprièté->permission->rendre exécutable), puis ouvrez un terminal placez vous dans le dossier où vous avez décompressé l'archive : cd ~/Bureau/fmodapi et lancez le script ./l'endroit_ou_se_trouve_le_script/install.sh et c'est bon !

La commande ldconfig crée les liens symboliques. Pour linker -llibfmodex64-4.22.02 ou plutôt -lfmodex64 grâce au lien symbolique.

Info : Si le vous avez des erreurs à propos du fichier .so lors de la compilation ou du lancement du programme c'est surement qu'il n'est pas détecté(libfmodex64 pour 64bits, et libfmodex32 pour 32):
à la compilation : vérifiez que vous avez bien /usr/local/lib/libfmodex64-4.22.02.so
si non réinstallez la bibliothèque
au lancement : vérifiez l'existence du lien symbolique /usr/lib/libfmodex64.so
si non créez le ou, coupez-collez et renommé le fichier libfmodex64-4.22.02.so (c'est pas la méthode propre mais à mon goût c'est là qu'il aura fallu que soit ce fichier au départ)


Note de la fin : Avec ces articles sur la fmod j'espère apporter ma petite contribution à la communauté comme il le faut (tappez "fmod linux" sur google et voyez le premier résultat :) ).
Et sur la documentation Ubuntu me voici : http://doc.ubuntu-fr.org/fmod

30 janvier 2009

Capture from laptop


Une petit capture dans le même style toujours, mais sur le portable.
Un HP dv5-1123 qui fonctionne très bien sous Ubuntu : touches multimédia et compagnie...

16 janvier 2009

Mes paquets

Une réinstallation de mon système est toujours rapide : on remonte la partition contenant /home à l'installation et hop il reste plus que le système à configurer et les paquets à installer.
Configurer le système c'est principalement gdm, le reseau, les services, quelques optimisations, etc...
Voici la liste de mes paquets que je juge nécessaires, il ne reste plus qu'a les installer et c'est bon en deux heures maximum le système est identique à avant le formatage et la réinstallation !

INTERNET :
- flash et java : Pas besoin de définir. Les paquets changent en fonction de la version et l'architecture
- amsn : Client msn
- frostwire : Client limewire
- azureus : Client torrent
- gwget : Interface graphique de wget, logiciel de téléchargement.
- gftp : Connection à un ftp

SYSTEME :
- wine : Emuler (oui je sais Wine Is Not an Emulator) des applications Windows
- mono (et monoDevelop) : Emuler les applications .NET
- preload : Fait prefetch des applications les plus lancées afin d'en accelerer le démarrage
- bum : Gerer les services
- gparted : logiciel de partitionnement
- ubuntu-tweak : Modifier des paramètres du système facilement

MULTIMEDIA :
- w32codecs, paquets restreints, paquet dvd : Lire les formats propriètaires
- tuxguitar : Éditeur et lecteur de tablature
- easytag : Tagguer plusieurs fichiers audio aisement
- audacity : Retoucher des fichiers audio
- alsa-oss : Emuler oss sous alsa pour les applications qui l'utilise encore (Plus en plus rare)
- amarok : Lecteur audio complet
- timidity : Sampler de midi
- audacious : Lecteur audio leger
- pytube : Recuperer, convertir des videos venant de youtube, dailymotion, ...
- gnupaint : Équivalent de paint
- soundjuicer : Extraire, convertir et tagguer des pistes audios d'un cd
- soundconverter : Convertir des fichiers audio
- VLC : Lecteur video complet
- elisa : MediaCenter
- gtk-record-my-desktop : Faire une video d'écran
- cheese : Ajouter des effets sur des videos à la webcam

UTILITAIRE :
- unrar, unace : Extraire les archives de ces formats
- numlockx (uniquement pour le desktop) : À activer au démarrage pour avoir le pavnum allumé
- nautilus-action : Scripts supplémentaires pour nautilus
- gnome-translate : Traduire des mots ou des phrases
- gprename : Renommer un groupe de fichier
- acroread : Logiciel d'adobe pour les pdf

30 novembre 2008

Astuce : Les modèles de fichier sous gnome

Dans une fenêtre de nautilus ou sur le bureau, le menu contextuel nous propose de créer un document avec une pauvre sélection : fichier vierge. De base nautilus ne fournit pas de modèles de documents. Mais il est possible d'en faire !

Etape 1 : Let's go
Tout d'abord créez dans votre dossier personnel un dossier Modèles ou .modèles ou ce que vous voulez (voir après pourquoi).
Personnellement j'ai opté pour un modèle des logiciels de la suite OpenOffice : ouvrez writer et enregistrez le document vide dans votre dossier de modèles, de même avec impress et calc et donnez leur des noms expressifs tels que Document Texte OOo Writer, Présentation OOo Impress, ... ces noms seront ceux des modèles.
J'ai deux petits modèles pratiques : Source C C++ et makefile définis par :
#include < >

int main(int argc, char argv**)
{

return EXIT_SUCCESS;
}
pour l'un et pour l'autre :
EXEC : main.c
gcc -o EXEC main.c

Etape 2 : La présentation de ces modèles à ce vieux nautile

Par défaut, notament sur Ubuntu, vous trouvez pour un nouvel utilisateur les dossiers ~/Documents, ~/Modèles, ...
Généralement on les supprime, nautilus établit alors que ces dossiers correspondront à /$HOME soit votre dossier personnel.
C'est pour ça que quand (dans le mode spatial) vous "Allez à/Modèles" cela vous ramène au dossier personnel.
Tout d'abord il faut redefinir ces dossiers, pour ce faire ouvrez le fichier : .config/user-dirs.dirs
ce qui nous donne :
XDG_PUBLICSHARE_DIR="$HOME/"
XDG_DOWNLOAD_DIR="$HOME/"
XDG_MUSIC_DIR="$HOME/"
XDG_VIDEOS_DIR="$HOME/"
XDG_DESKTOP_DIR="$HOME/Bureau"
XDG_DOCUMENTS_DIR="$HOME/"
XDG_TEMPLATES_DIR="$HOME/"
XDG_PICTURES_DIR="$HOME/"
Remarquons avant tout, que le dossier du DESKTOP est ~/Bureau, ce qui permet la traduction dans toutes langues, ainsi que le repertoire de DOWNLOAD correspond à celui définit par certains logiciels notament firefox. Par ailleurs profitez en pour remplacer ces répertoires, celà vous facilitera la vie, par exemple certaines visionneuse d'images vont s'ouvrir par defaut dans le répertoire de PICTURES...
Ce qui nous intéresse est TEMPLATES, remplacez donc le répertoire par le votre qui contient les modèles. A la base, le dossier est ~/Modèles, l'astuce serait de créer un fichier caché .hidden pour rendre invisible le répertoire en inscrivant Modèles dans ce fichier (et cela marche pour tout les dossiers), mais ça le rend uniquement invisible pour nautilus, ce n'est pas un fichier caché, le mieux est alors de nommer notre dossier .modèles et celui sera caché !

29 août 2008

Ouvrir avec "timidity"

Pour les fichiers MIDI (*.mid), j'utilise timidity, petit logiciel léger et simple; Cependant il n'a pas d'interface graphique, autrement dit il affiche les informations sur la piste dans la stdout du terminal et lit la piste audio. Ce n'est pas vraiment génant vue la fréquence d'écoute d'un fichier MIDI mais on peut tout de même se simplifier facilement la vie.
L'idée serait de faire 'ouvrir avec une commande' et y informer timidity, mais dans ce cas seul timidity se lancera, c'est à dire même pas un terminal, et la seule façon d'arreter la musique sera de tuer l'application : pas pratique !
La solution : Dans le menu ouvrir avec dans les propriètés d'un fichier *.mid, on va ajouter l'application définie par la commande gnome-terminal -x timidity %U
Explication : La commande gnome-terminal va nous ouvrir notre bash sous gnome (pour KDE ou autre, subsituer par le shell correspondant), le paramètre -x passera au shell une commande qu'il devra exécuter directement à son exécution et enfin %U enverra l'emplacement du fichier qu'on veut ouvrir à la commande c'est à dire timidity (remarque : la commande seule timidity ouvrira le fichier sur lequel on a double-cliqué, mais dans notre cas, l'emplacement du fichier à ouvrir est passé à gnome-terminal qui n'en fera rien et non à ses paramètres d'où l'utilité de %U).

Edit (juin 09) : En revoyant ce billet, je précise maintenant que ceci est inutile puisque Totem (si vous l'utilisez) gere le midi automatique, ce qui est une bonne chose.

18 novembre 2007

De Retour ?

Ça fait longtemps que j'avais pas posté, mais quand je suis tombé par hasard sur mon astuce hier j'ai tout de suite pensé à écrire un billet.
Trois captures en direct de Gutsy avec Compiz-Fusion :

17 novembre 2007

Petite astuce

Ça fait longtemps que j'ai un léger problème, causé par Compiz bêta (à l'époque de Dapper Drake) mais que je n'ai jamais su résoudre (même en réinstallant le système plusieurs fois depuis, le problème vient de mon /home que je conserve) : le bouton de logout de Gnome ne m'affichait plus la fenêtre Déconnexion, Redémarrage, Changer d'utilisateur, ... mais fermait directement la session, il me devenait plus facile d'appuyer sur le bouton de l'unité centrale deux fois (une pour fermer la session et l'autre pour éteindre le pc). Si je voulais redémarrer je devais le faire à partir de GDM.
Le problème n'est plus, j'ai retrouvé la fenêtre, et en plus j'ai changé le rôle du bouton de l'UC.

Il suffit d'ouvrir gconf (gconf-editor dans un terminal) et de parcourir l'arborescence /apps/gnome-session/options :
  • A partir de là pour avoir la fenêtre de déconnexion il faut cocher la clé logout_prompt.
  • Pour éteindre son PC en appuyant qu'une fois sur le bouton de l'UC à partir de sa session, on change la valeur de logout_session en shutdown ou alors restart pour rebooter.

30 juillet 2007

...


Bon ces temps ci j'ai rien d'intéressant à poster alors vaut mieux éviter de poster pour rien.
Mais pour combler le vide voici cette capture.

13 juillet 2007

Petition pour les portages de jeux sous Linux

Tout est dans le titre, personnellement je ne joue pas mais l'idée d'encourager les éditeurs à porter leurs jeux m'intéresse. Tous les arguments sont exposés sur le site : http://www.yesgameonlinux.org/

Et pour signer la pétition c'est par ici.
Qui a déjà signé ?

09 juin 2007

Une petite capture pour la route

No comment, c'est une capture avec beryl que j'ai maintenant en permanance.