25 décembre 2006

JOYEUX NOWEL...

Ben comme d'habitude je souhaite à tous un joyeux noël^^
Et de bien en profiter :)

... Eragon

Eragon le film... n'importe quoi : Vous prenez les grands points de l'histoire et vous les reliez et vous avez le film. Après le reste on s'en fou ! Comment il apprend le magie et à combattre? Où sont passé la moitié des personnages et leur rôle important? Que fait on de toutes les explications sur les dragonniers de Brom? Pourquoi les Urgals ne sont pas les Urgals?

Si vous n'avez pas lu le livre vous allez penser que c'est pour les gamins, que faut pas chercher à comprendre, qu'il n'y a pas de rebondissement, seulement la victoire du héros. Si vous l'avez lu vous allez être dégoutté !

24 décembre 2006

Ce soir, je vais voir le film Eragon au cinéma.
Les deux livres - que j'ai sur mon étagère - sont bien malgré l'écriture simple et l'intrigue pas très complexe, l'histoire est cependant tenante.
En fait, cela fait environs un an que j'attends la sortie de cette adaptation à l'écran du livre pour voir ce que cela donne. J'espère seulement que l'histoire sera fidèle, que l'atmosphère ne sera pas enfantine et que le film sera à la hauteur.

Prologue :
Il y a des milliers d'années, une guerre éclata entre les elfes et les dragons. Un jour, un jeune garçon (prénommé Eragon) trouva un œuf de dragon, l'éleva, et, lorsque les deux clans virent qu'ils pouvaient vivre ensemble, ils se réconcilièrent, et pour marquer cette alliance, les elfes eurent don d'une partie des immenses pouvoirs des dragons et les dragons eurent le pouvoir de communiquer mentalement. L'ordre des Dragonniers fut également créé pour lier définitivement cette nouvelle alliance. Un Dragonnier est le compagnon d'un dragon, et leurs esprits sont étroitement liés, comme s'ils n'en formaient qu'un seul. Durant une très longue période, l'Alagaësia connut une vie paisible. Il exista plusieurs Dragonniers, dont un nommé Galbatorix, qui, après l'assassinat de sa dragone par les Urgals, et le refus du conseil des Dragonniers de lui en redonner un, corrompit Morzan qui l'aida à voler Shruikan,un dragon venant juste d'éclore et le mit du côté de la magie noire. Puis, le Dragonnier et son dragon rassemblèrent de leurs cotés, 13 Dragonniers plein d'ambition : les Parjures, dont Morzan, le plus fidèle. Avec ses compagnons, Galbatorix tua tous les Dragonniers sauf l'elfe Oromis qui lui échappa et leur chef, Vrael : il devint le roi de l'Alagaësia. Toutefois, tout le peuple de l'Alagaësia ne se soumit pas au Tyran, le Surda, une région au sud de l'empire fit sécession, des humains, qui formèrent les Vardens, se réunirent dans les montagnes du Beor, les nains se cachèrent dans leur cités fermant les entrées connues alors que les elfes regagnèrent leur fôrets. Les humains des Vardens et du Surda, les elfes et les nains s'allièrent pour combattre l'Empire du Roi Galbatorix, mais durant de longues années, sans Dragonnier actif à leur côté, leurs espoirs de victoire était mince. Vingt ans avant le recit, des membres des Vardens, Brom et Joeb, réussirent à dérober les trois derniers oeufs de dragon en possession du Roi, mais les Parjures les poursuivèrent et réussirent à récupérer deux des trois oeufs. Au boût de cette quête, tous les Parjures furent tués et Galbatorix devient le seul Dragonnier. Aujourd'hui, l'oeuf des Vardens a éclos, la Confrérie des Dragonniers rennaît de ses cendres. Périra-t-elle dans l'oeuf, se ralliera-t-elle au Roi ou vaincra-t-elle Galbatorix ? Seul l'avenir nous le dira.

Résumé (quatrième de couverture) :
Voilà bien longtemps que le mal règne dans l'Empire de l'Alagaësia... Et puis, un jour, le jeune Eragon découvre au coeur de la forêt une magnifique pierre bleue, étrangement lisse. Fasciné et effrayé, il l'emporte à Carvahall, le village où il vit très simplement avec son oncle et son cousin. Il n'imagine pas alors qu'il s'agit d'une oeuf, et qu'un dragon, porteur d'un héritage ancestral, aussi vieux que l'Empire lui-même, va en éclore... Très vite, la vie d'Eragon est bouleversée. Contraint de quitter les siens, il s'engage dans une quête qui le mènera aux confins de l'Alagaësia. Armé de son épée et guidé par les conseils de Brom, le vieux conteur, Eragon va devoir affronter, avec son jeune dragon, les terribles ennemis envoyés par le roi dont la malveillance démoniaque ne connaît aucune limite.
Eragon n'a que quinze ans, mais le destin de l'Empire est désormais entre ses mains !

Le mieux est d'aller voir les bandes d'annonces pour se faire une idée visuelle du film :
http://www.apple.com/trailers/fox/eragon/hd/

22 décembre 2006

Créer des raccourcis clavier sous Gnome

Des fois on aime qu'un programme se lance directement à la suite d'une combinaison clavier. Au lieu de faire ou d'utiliser un script, on peut dans les configurations de metacity (les keybindings de gnome étant prédéfinis, on utilise les run_command de metacity) choisir une commande d'une part, et le raccourci clavier déclencheur d'autre part.

Tout d'abord, il faut ouvrir gconf (gconf-editor dans un terminal) et parcourir l'arborescence pour accéder à /apps/metacity/keybinding_commands .
Dans ce dossier, on voit quatre entrées nommées command_x avec x de 1 à 12, plus command_screenshot et command_window_screenshot (il en découle qu'on peut changer le logiciel de capture d'écran plein et de fenêtre). Pour définir une commande qu'on veut en raccourci, il suffit de remplir la valeur (chaine de caractère) des entrées. Enfin, pour entrer la combinaison de touche, on va dans le dossier /apps/metacity/global_keybindings et on tape dans la valeur de la clé run_command_x correspondante le raccourci (exemple : le raccourci run_command_1 lance command_1) . On peut utiliser toutes les touches : <alt>, <ctrl>, Delete, Print, <tab>, a, z, &, 1, F6, Escape, ...

Prenons un exemple utile pour illustrer cette simple méthode :
On veut que le moniteur système de gnome s'ouvre lors de la saisie des touches Ctrl+Alt+Suppr, on entre donc dans la première clé libre, en l'occurrence command_1 la valeur gnome_system_monitor puis dans la clé run_command_1 le raccourci <ctrl><alt>Delete.

Si un jour, un raccourci n'est plus utile ou hors d'usage afin qu'on souhaite le supprimer, on enlèvera la valeur de command_x et celle de run_command_x (on peut aussi saisir disabled dans cette dernière) .

16 décembre 2006

Ma gratte

Je vous présente ma guitare électrique, une Ibanez GRX40


Caractéristiques techniques GRX 40 :
- Corps tilleul,
- Manche GRX en érable,
- Acastillage chromés,
- Touche palissandre 22 cases,
- Vibrato Fat 6,
- 2 single coil (central et manche),
Humbucker PSND2 (vibrato).

10 décembre 2006

Canon Rock

Le Canon Rock (de Pachelbel) de JerryC joué par un mec très jeune, et il se débrouille vraiment bien !!

02 décembre 2006

Quelques captures de retour sur metacity

Voilà deux captures qui datent de hier de d'aujourd'hui (dans l'une petit ré-aménagement et dans l'autre changement des thèmes).
J'ai mis internet explorer sur le screen pour montrer qu'ils fonctionnent très bien sur Linux mais bien sûr je ne l'utilise pas (et c'est logique...) à part pour certains site très mal codés (je ne citerai pas la section mobile d'orange !!) !

30 octobre 2006

Se connecter à un ftp avec nautilus

Depuis quelques versions de gnome, la fonction "se connecter à un ftp" donne un résultat inattendu, elle ouvre la navigateur dit "par défaut" en l'occurrence firefox chez moi. Après quelques recherches, j'ai trouvé un moyen de remédier à cela redonnant à nautilus son comportement normal; Car même si nautilus n'est pas le mieux sur le sujet surtout à cause de la lenteur, il est assez pratique puisqu'il intègre la navigation de fichier et celle de ftp en même temps.

Le navigateur web par défaut comme on le voit dans système->préférences->applications préférées s'applique à tout sans être pour autant paramétrable dans ce même fenêtre.
Pour pouvoir changer ce comportement, il y a dans gconf (qu'est-ce qu'on ferait sans lui? on modifierait des fichiers à la main?) une clé qui définie s'il doit s'appliquer ou pas pour chaque protocole, ainsi - dans gconf-editor dans un terminal ou outils système-> Éditeur de configuration - il suffit de modifier la clé /desktop/gnome/url-handlers/ftp/enabled et de lui donner la valeur faux (décocher la case).

29 octobre 2006

Xscreensaver plutôt que gnome-screensaver

A partir de Dapper, ils -les développeurs de gnome- ont remplacé xscreensaver par gnome-screensaver, son seul avantage est d'être codé avec gtk, et c'est bien là son seul avantage face au nombre imposant d'options que propose xscreensaver.
Je vais donc vous proposer de remettre xscreensaver à la place de gnome-screensaver et de libérer si vous le voulez bien à peu près... 4 Mo !
Mon travaille s'effectue donc sous gnome sous Ubuntu mais peut être valable sous n'importe quelle distribution, il suffit juste de télécharger des sources ou des *.rpm à la place des *.deb entreposé dans les dépôts.

1. D'abord, on va enlever ce gnome-screensaver. Pour ce faire, il faut ouvrir gconf (outils système -> Editeur de configuration ou gconf-editor dans un terminal). Puis parcourir la hiérarchie /apps/gnome_settings_daemon/screensaver ou faire une recherche (ctrl+f ou édition->rechercher) du motif "screensaver" et sélectionner le premier résultat puisque c'est le démon dont on s'occupe, afin de voir les deux clés qui nous intéressent.
Ensuite, la clé start_screensaver doit être décochée (c'est à dire doit avoir la valeur faux), l'autre clé peut être décochée aussi mais cela n'a plus d'importance.
2. Maintenant qu'aucun gestionnaire ne lancera d'écran de veille, ces clé ne servent à rien, mais cependant restons en là et fermons gconf. La logique veut que puisque l'on installe xscreensaver, gnome-screensaver ne serve plus à rien et occupe de la place pour rien (4Mo c'est 4Mo!), donc désinstallons-le:
sudo apt-get remove gnome-screensaver
ou recherchez gnome-screensaver dans synaptic (ou un équivalent) et sélectionnez le pour désinstallation complète.
Une fois ce paquet completement éradiqué, nous allons pouvoir nous occuper de la suite.
3. Pour finir, nous allons télécharger et installer le paquet xscreensaver. Mais avant tout, il faut vérifier la disponibilité du paquet:
sudo apt-cache search xscreensaver
ou rechercher xscreensaver dans synaptic ou équivalent.
Si le paquet n'est pas trouvé, vérifiez votre liste de dépôts (attention au #, activez de préférence, pour éviter de le refaire souvent, les dépôts universe et multiverse). Puis réitérez l'étape. Maintenant nous pouvons télécharger et installer notre paquet:
sudo apt-get install xscreensaver
sudo apt-get clean
ou rechercher xscreensaver dans synaptic (ou équivalent) puis sélectionner pour installation (je vous conseille de faire un nettoyage du cache car les fichiers *.deb qu'ils soit installés ou pas ne servent plus à rien et prennent de la place, si vous préférez garder les paquets des logiciels installés alors préférez autoclean à clean).
4. L'opération finale consiste à intégrer xscreensaver, il existe un moyen de lancer xscreensaver au chargement de gdm en modifiant le fichier de configuration de celui-ci mais je n'utiliserai pas cette méthode qui est préférable s'il y a plusieurs utilisateurs (voir manuel, man xscreensavers, regarder vers la fin)
Je privilégierai le lancement de xscreensaver au chargement de la session, pour ce faire système->préférences->sessions ou gnome-session-properties, puis dans l'onglet programmes au démarrage cliquez sur ajouter et insérez la commande xscreensaver -nosplash (contrairement à xscreensaver, cette commande n'ouvrira pas de fenêtre).
Le raccourci économiseur d'écran est censé lancer la commande gnome-screensaver-properties qui est maintenant inexistante, le mieux est de le remplacer. Si vous le voulez bien, allez dans système->préferences->agencement du menu (dans certaines versions de gnome ce raccourci est dans outils système) ou alacarte dans un terminal; Puis cherchez Économiseur d'écran et cliquez sur propriété, vous n'avez plus qu'a remplacer la commande par xscreensaver-demo.

Voilà, maintenant vous avez retrouvé votre xscreensaver préferé et ses superbes options.

28 octobre 2006

Quelques capture de beryl

Voilà c'est beryl, c'est super stable, graphiquement c'est plus fluide qu'avant (par exemple quand je lance tuxguitar, les effets 3D fonctionnent même si firefox et aMSN sont lancé, alors qu'avant ce cumul d'application provoquait un ralentissement plus important, car tuxguitar il la bouffe ma pauvre sdr).
J'ai pas pris de capture de xwinwrap mais c'est super aussi, ça permet pleins d'effets, comme une video en fond d'écran, un écran de veille qui joue la transparence, ou même n'importe quelle applications avec les options (sur toutes les faces? fond d'écran ou avant plan? plein écran? ...).
Beryl est fork de compiz, pour plus d'informations voir mon ancien sujet sur le Xgl, le mieux étant de le tester!





Ces captures je ne les trouve pas très belles car je les ai faites avec gimp pour pouvoir avoir les effets mais je ne peux pas éviter les temps de rafraichissement, de plus le mieux serait de voir une video. Donc ces captures sont là pour montrer comment est mon bureau sous beryl(à savoir qu'en 3 clics grâce à l'icone rouge je repasse sous metacity), cependant j'ai enlevé le tableau de bord contenant la liste de fenêtre parce qu'il ne me sert plus à rien: un coup de souris dans le coin droit et j'ai cette liste graphique!

04 octobre 2006

Blague Sur Les Blondes

J'en ai entendu une, elle est vraiment trop excellente.
Je vous donne le lien pour la lire directement sur le blog de son auteur et lui laisser vos commentaires...
... par

30 août 2006

Animusic

Un jour la musique n'aura plus besoin de l'humain pour être jouée, est-ce possible? En tout seul un humain peut créer si belle animations, voici deux animusics, une que je trouve vraiment sympa et l'autre très originale.



29 août 2006

Quand vient le temps de parler de développement...

Je lis dans le dictionnaire « développement : progrès, en extensions ou en qualité ».

Ce que je tente d'insinuer est une nouvelle notion propre à ces bribes d'explications, de découvertes, d'aventures amèrement palpitantes, ou le peu de vécu; Cette notion n'est pas compliquée, j'ai choisi de détourner le sens primaire du nom de mon blog.
Historiquement - je parle à vous, gens de hier ou de la seconde précédente qui marque la création de mon blog dans l'histoire, mais je m'exprime aussi à vous gens de demain, qui permettent à ce blog d'exister et d'avoir une trace ou un souvenir dans le passé et un prolongement dans le futur - mon blog a été crée pour servir d'entrepôt à mes projet de développement, c'est à dire à la programmation. Bien sûr je n'ai pas tenu cet engagement parfaitement, en laissant exprimer ma bonne année par exemple mais aussi en parlant de ce système que je chérie tant, cependant je n'ai jamais dérivé de l'informatique.
Aujourd'hui je change d'ère, je ne suis pas entêté et obstiné pour prétendre qu'il a un risque, ce choix est bénéfique, mais son unique but est d'améliorer, cela va de soi le blog à son aspect actuel n'est pas médiocre mais mérite des changements. Ce choix prévoit seulement d'étendre les sujets, d'ouvrir le blog à de nouveaux types de développement. Il n'y a aucun regret à avoir, je ne renverse pas Edo pour instaurer Meiji. En développant d'autres horizons, je résoudrai le problème de latence entre chaque billet, maintenant ce n'est plus un blog mensuel !
Il y aura en effet des progrès, je ne vous promet pas la qualité, même si je certifie que mes billets sur gnome ou sur la fmod se veulent être de qualité (désolé s'ils ne le sont pas), mais je vous annonce l'extension.
Afin de m'étendre, je vais détourner le mot développement. À partir de cette phrase le développement ne sera plus seulement "l'action de développer des programmes", mais le développement culturel, par exemple la musique, ou le développement graphique (j'ai déjà un peu abordé le sujet mais je considère maintenant l'infographie).

Peut-être créerai-je des sections pour classer les billets, peut-être changerai-je d'hébergeur, peut-être raconterai-je certains passages instructifs ou intéressant de ma vie, peut-être mais je ne peux rien affirmer. Sur ce, avant de vous quitter avec le prochain billet concernant des animations vidéos, je voudrais faire remarquer que j'ai supprimé le style sobre pour appliquer celui-ci plus clair.

07 juillet 2006

How To: installer la fmod 3.75 sur linux?

Tout d'abord, qu'est-ce que la fmod?
Sans rien vous cacher, je peux vous dire que c'est une library qu...
...Qu'est-ce qu'une library?
Une library (je ne l'écris pas librairie car le mot library se traduit bibliothèque en français) est - en programmation bien sûr - un ensemble de fonctions qui ont un but commun et qui peuvent s'appeler entres-elles, ces fonctions ou procédures sont déclarées par des fichiers d'en tête (en anglais header *.h) inclues par le développeur s'il en a besoin dans son code.
Qu'elle est la particularité de la fmod en tant que library ?
La fmod est tout simplement une library très puissante qui gère le son (musique, bruitage) et les effets sonores. De plus elle est gerée par une multitude de platforme.
Donc sa spécialité, c'est le son et elle marche aussi bien sur PC que sur Mac si j'ai assimilé?
En effet c'est presque ça, sauf que par multiplatforme j'entends différents systèmes d'exploitation, par exemple MS-Windows, GNU/Linux, Mac OS, mais j'entends aussi quelque chose qui va vous étonner : des consoles de jeu.
Mais comment fait-elle pour que le fichier soit lisible sur tout ça?
Quand on code un programme, on tape des commandes bien sûr, et entre autre des commandes pour les accès aux sons si on veut en utiliser (par exemple charger un fichier audio, le lire, ...), ces fonctions sont toujours les mêmes tant qu'elles sont dans le code source, cependant le fichier library lui varie en fonction de la platforme, c'est comme ça cela qu'on peut compiler les fonctions de cette library dans notre programme, dans un format binaire compréhensible par la machine ou le système.
J'énumère donc les treize différentes platformes que supporte la fmod:
- Windows 32bit
- Windows 64bit (AMD64)
- Linux
- Linux 64bit (AMD64)
- Macintosh (os8/9/10/x86)
- Windows CE (Pocket PC / Smart phone)
- Playstation 2
- Xbox
- GameCube
- Xbox 360
- Playstation Portable
- PLAYSTATION®3
- Wii

La library et ses en-têtes pour chaque platforme respective sont téléchargeables sur le site de la fmod dans la section download (si ce n'est pour les consoles où une documentation est complémentaire).
Il y a la version 4.04 sur le site, pourquoi installe-t-on la 3.75?
La version 4.04 est déjà installée d'office sur certaines distributions, mais même si ce n'est pas le cas, la procédure est la même, sauf qu'au lieu d'appeler les fichiers fmod, ils se nommeront fmodex. Pour connaître les différences entre fmod et fmodex je vous laisse regarder le tableau de la rubrique comparison du site de la fmod. Le choix d'installer ici la fmod est qu'elle est encore populaire, et qu'elle nourrit largement nos besoins en programmation sonore.

Comment installer la fmod?

Pour commencer, il va falloir récupérer la library : FMOD 3.75 linux. Dans l'archive, seul le dossier api nous intéresse (vous pouvez consulter le reste: c'est de la documentation et des exemples), et dans ce dossier seul le fichier *.so qui représente la bibliothèque de fonction et le contenu du dossier inc qui contient les headers vont nous servir. Le mieux est de les décompresser sur un endroit visible comme le bureau ~/Desktop.
Cette version de la fmod est censée être - pour linux - dans le dossier du projet; Mais afin de pouvoir l'utiliser comme n'importe quelle library c'est à dire, en la liant avec -lfmod dans le compilateur, au lieu de préciser son arborescence à chaque fois, quelques manipulations simples s'envisagent.

Le fichier qui contient les fonctions s'appelle libfmod-3.75.so. Normalement, un lien symbolique devrait être fourni dans l'archive, ce n'est pas le cas donc il devient nécessaire de changer le nom du fichier (ou de créer un lien symbolique).
Le paramètre -lfmod du compilateur cherche la library qui se nomme libfmod.so dans le dossier /usr/lib ou/et usr/local/lib; Sous windows, il cherche le fichier libfmod.a dans le dossier lib du compilateur.
Pour faire un makefile (script de compilation) efficace qui reprennent les mêmes options du compilateur sous chacun des systèmes, le fichier libfmod-3.75.so doit être rennomé en libfmod.so. Cela fait, il est temps de lui présenter son domicile, ouvrez un terminal puis saisissez (si votre distribution n'utilise pas sudo, connect vous en root):
sudo chown root chemin/libfmod.so
$ sudo chgrp root chemin/libfmod.so
Cela va changer le propriètaire du fichier et du groupe en root, c'est nécessaire pour les library par question de sécurité. Les permissions sont lecture, écriture et éxecution pour le propriètaire et, lecture et éxecution pour le groupe et les autres.
Ensuite, déplacez le dans le dossier /usr/lib où il finira sa vie:
$ sudo mv chemin/libfmod.so /usr/lib
Si cette méthode ne vous plait pas, vous pouvez toujours garder le nom du fichier, puis créer un lien symbolique ou alors préciser l'emplacement exact du fichier lors du link "chemin/ libfmod-3.75.so" au lieu de -lfmod.

Maintenant il ne reste plus qu'à s'occuper des headers, cette fois ci ce n'est plus une histoire de compilateur qui gène, mais de source: si vous ne voulez pas modifier vos sources en changeant de platforme, il va falloir que l'endroit d'où l'on inclue les headers soit le même: <fmod/fmod.h>, donc /usr/include/fmod. L'opération est plus simple, dans un terminal entrez:
$ sudo chown root chemin/fmod.h chemin/fmod_errors.h chemin/fmoddyn.h chemin/wincompat.h
$ sudo chgrp root chemin/fmod.h chemin/fmod_errors.h chemin/fmoddyn.h chemin/wincompat.h
On donne les fichiers au root et à son groupe, les permissions sont les mêmes que celles du fichier *.so.
$ sudo mkdir /usr/include/fmod
Puis déplacer chacun des fichiers:
$ sudo mv chemin/fmod.h chemin/fmod_errors.h chemin/fmoddyn.h /usr/include/fmod
Voilà vous pouvez maintenant inclure la fmod par #include <fmod/fmod.h> dans vos sources et l'appeler par -lfmod dans le compilateur.

22 juin 2006

Guifications pour gaim2 bêta3

La version de guifications comme celle de gaim sur les dépôts officiels est la 1; Pour ceux qui veulent tester la version 2 encore en bêta et son lot de nouveautés comme les smileys perso et animés de msn et la possibilité d'envoyer et recevoir des wizz (avec la commande /nudge), et qui souhaitent garder leur plugins, il faut aller les chercher ailleurs.
Voilà pourquoi après être resté un mois sans guifications, le plugin de notification, j'ai décidé de récupérer moi même les sources de la dernière version sur le site officiel, puis de les compiler, et enfin de créer un paquet debian (*.deb) pour remplacer celui sur le dépôt.

Pour l'installer, récuperez le : gaim-guifications
puis lancez le avec gDebi ou avec la commande dpkg -i gaim-guifications_2.13beta3-1_i386.deb
Il se peut que le plugin ne fonctionne pas chez certaines personnes, j'ai alors mis en ligne un second paquet revu :
gaim-guifications (revu)
le nom de ce fichier est gaim-guifications_2.13beta3-1_i386(revised).deb mais le nom du paquet installé est le même (gaim-guifications).

Voici un thème assez sympa que j'ai traduit en français :
tangoish-blue
Il suffit de l'extraire dans ~ puis après de le selectionner dans gaim " outils -> plugin -> guifications : configurer le plugin -> onglet thème et cochez le.

20 mai 2006

Dépôts Ubuntu Breezy et Dapper

Les dépôts pour Breezy sont moins mis à jour, et pour certains logiciels à mise à jour hyperactive, comme Firefox, ceux de Dapper ne suivent plus la cadence.
Plusieurs logiciels à jour sont proposés sur http://asher256.tuxfamily.org/ grâce à ses dépôts :
Breezy :
deb http://asher256-repository.tuxfamily.org breezy main dupdate french
deb http://asher256-repository.tuxfamily.org ubuntu main dupdate french

Dapper :
deb http://asher256-repository.tuxfamily.org dapper main dupdate french
deb http://asher256-repository.tuxfamily.org ubuntu main dupdate french

27 avril 2006

Quelques captures d'écran

20 mai 2006 : Du renouveau dans l'interface visuelle : xmms, firefox, gnome, metacity et tilda sont ici affichés avec un nouvel habit.
Pour indication le thème de contrôle s'appelle E17-GTK, le reste se trouve facilement sur la toile.

27 avril 2006 : C'est le bureau qu'arbore mon gnome depuis quelques semaines. Il a un côté obscur mais s'apprécie merveilleusement bien avec le thème metacity the Darker de couleur orange.
C'est une version épurée de tout ce qu'une certaine perfection impossible à atteindre a confectionné, soit la suppression des éléments inutilisés ou substituables et la mis en place d'un tableau de bord non gênant et masquable privilégiant raccourcis et le discret menu principal. Le second tableau de bord est plus symbolique et de ce fait à le droit à une place sur l'écran qui sera la limite des fenêtres, il se minimise mais prend la place qui lui est offerte selon ses besoins.

26 avril 2006 : Voici le bureau de Straton après un peu de personnalisation précèdée de la lecture de mon tutoriel.
On voit l'utilisation de l'élégant et sombre thème (gtk+) The Darker et des glass icons, que j'ai mentionnés comme coup de coeur.
En regardant plus minutieusement, les éléments disposés sur les tableaux et la configuration de ceux-ci : le tableau horizontal haut n'est pas sur la largeur (non étendu) mais collé à la face supérieure, il comporte plusieurs raccourcis; Celui bas est basé sur des éléments fréquemment utilisés et actualisés, et il est masquable.

3 avril 2006 : Ce thème visait à réduire les tableaux de bords en un seul pour gagner de la place tout en gardant son esthétisme - voire en l'augmentant - cependant, bien que magnifique sur le tableau de bord, le thème devint vite une tâche périlleuse pour les yeux et les jeux de couleur personnalisés pour un logiciel devenaient illisibles.
Le thème gtk+ eMacsGreen a été remplacé par celui MacOS-X, et les questions de lisibilité ne se posaient alors plus pour un thème général toujours très élégant.

7 janvier 2006 : Voici la premiere personnalisation de mon thème.
Avant il existait des personnalisations auxquelles j'avais changé un peu les éléments du tableau de bord et je les avaient déplacés (voir certains des billets antérieurs).

26 avril 2006

16 avril 2006

Personnaliser son Gnome

Ce tutoriel offre les possibilités de personnaliser son bureau et espace de travail, non seulement pour prouver la force graphique des composants Linux, mais aussi pour satisfaire une certaine esthétique visuelle. L'explication part de manipulations des plus simple et s'étend à des résultats assez impressionnants dont tout néophyte puisera à sa guise une certaine fierté.
Cet apprentissage est destiné seulement aux fervents - ou simples - utilisateurs de GNOME (KDE y ressemble mais reste différent et les autres environnements de travail c'est une autre histoire), et est basé sur la distribution Ubuntu, mais les menus ne différeront pas tellement sur ce plan là selon les systèmes et chacun pourra facilement s'y retrouver.
Le tout peut être amélioré grâce aux Xgl qui est une surcouche proposant plusieurs effets époustouflants (surtout par rapport aux systèmes d'exploitation propriétaires, et par rapport aux caractéristiques requises).

A l'installation le bureau de GNOME (GNU Network Object Model Environment) apparaît avec deux tableaux de bords contenant des éléments essentiels au système, puisque à la création d'un utilisateur les paramètres sont initialisés selon les choix de ce système.

Voici par exemple, le bureau gnome tel qu'il est de base pour un utilisateur d'Ubuntu.
Il y a sur le premier tableau de bord en commençant vers la gauche, la barre de menu spécifique au système, un raccourci vers le navigateur internet par défaut, un raccourci vers le client de messagerie par défaut, un lien vers l'aide; En commençant vers la droite il y a l'horloge-calendrier, le contrôleur de volume et la zone de notification; Entre les deux il y a une zone vierge où la zone de notification va pouvoir s'étendre par exemple.
Sur le tableau de bord du bas, il a un bouton afficher le bureau, la liste des fenêtres qui peut s'étendre sur l'espace vierge, le sélecteur d'espace de travail et le lien symbolique vers la corbeille.


II - Manipulations basiques

1. Ajouter, enlever, déplacer des éléments sur le tableau de bord

Le tableau de bord est géré par GNOME, on peut lui ajouter ou lui enlever des objets et les positionner, de plus des éléments supplémentaires à ceux de base peuvent être téléchargés sur internet (un programme TV par exemple ou un oeil qui suit la souris d'où il est, c'est à dire des outils et des widgets).

Pour ce faire, il faut cliquer avec le bouton droit de la souris sur une zone vierge du tableau de bord concerné (c'est à dire une zone exempte de tout élément) puis sélectionner "Ajouter au tableau de bord", là dans une fenêtre spécifique se présente les éléments classés en catégories que l'on peut ajouter.
Maintenant un faisant un clic droit sur l'objet on peut obtenir des informations dessus, le paramétrer, mais aussi le supprimer du tableau de bord ainsi que ses paramètres ou le déplacer (en le glissant au nouvel emplacement à l'aide de la souris, un élément peut passer d'un tableau à l'autre ainsi). Une option complémentaire permet de le figer afin qu'il ne se déplace pas quand un éléments voisin s'étend (bloquant ainsi son expansion).


2. Déplacer, étendre, paramétrer les tableaux de bord

Le tableau de bord peut être déplacé de n'importe quel côté de l'écran, en cliquant et restant appuyé sur un espace vierge de celui-ci puis en le déplaçant vers le côté voulu, celà change son orientation donc les icônes restent horizontales, et les écritures et la liste de fenêtre s'adaptent (horizontalement ou verticalement).
Le paramétrage du tableau de bord se fait d'un clic droit de la souris dans un espace vierge puis d'un second clic sur "propriétés".
Il s'offre à vous de choisir l'orientation de votre tableau de bord et sa taille en pixel (attention certains thèmes ne supportent pas les changements de taille), ces deux opérations réadapteront et redimensionnereront tous les éléments, la taille varie de 25 à 120 pixels mais je conseille 25 pixels pour un tableau de bord normal et 50 pour un épais (pour ressembler au style Mac avec les grandes icônes ou alors pour superposer les fenêtres de la liste des fenêtres).
Un tableau de bord peut se masquer automatiquement au bout d'un cours délais de temps en sélectionnant l'option correspondante, mais il peut être masqué vers un bord ou vers l'autre en cochant "Afficher les boutons de masquages", il restera alors le bouton pour le faire réapparaître (une option permet d'afficher des flèches indicatives sur ces boutons). Non masqué un tableau de bord étendu ou attaché à deux bordures de l'écran réduira la taille maximale des fenêtres pour pouvoir être visible.
Une dernière option permet d'étendre ou pas le tableau de bord, en la décochant le tableau de bord pourra être placé n'importe où sur l'écran et prendre la place qui le sied quand elle change

Maintenant que les tableaux de bord sont garnis, positionnées et configurés comme bon nous le semble, il faut peaufiner leur apparence, pour cela il suffit de cliquer sur l'onglet "Arrière plan" dans les propriétés de celui-ci.
Il est possible d'utiliser le thème du système en fond, mais aussi une couleur unie (opaque) ou dépendant d'un taux de transparence (affichant donc l'image de fond d'écran du bureau en transparence), ou complètement transparent. La dernière option, qui est une preuve de personnalisation, est de mettre une image à condition qu'elle soit dans les bonnes dimensions (si c'est un motif en fresque, autant créer ou retoucher l'image avec 50 pixels de hauteur et superposer deux fois ce motif pour permettre 25 et 50 pixel, ou alors créer qu'une seul version correspondant à une taille de pixel correspondante).



3. Thème de bordure de fenêtre, de contrôle, d'icônes et de curseur

Le fond d'écran est changé, son style et sa couleur sont configurés, pourtant vu comme ça il manque encore quelque chose pour personnaliser à convenance son bureau. En ouvrant une fenêtre, on voudrait changer les bordures... C'est le thème qu'on veut changer !

Pour commencer, le mieux c'est de comprendre comment ça marche. Pour cela, il faut aller dans " /usr/share/themes ", on voit que les dossiers contiennent eux-mêmes des dossiers appelés metacity (ou metacity-1, ...) et gtk (ou gtk-2.0, ...), ne vous inquiétez pas quant au version tant que vous avez la plus récente. Quand il y les deux c'est un thème complet, sinon s'il n'y en a qu'un ce n'est qu'un élément mais pas de panique, c'est ça la personnalisation !
Maintenant, ouvrons système->préférences->thèmes, on voit une liste de thème qui sont seulement les thèmes complets.
L'option "installer un thème", installe un thème évidemment, ce thème sera un tarball, qui contiendra un dossier au nom du thème et dans ce dossier seront présents les dossiers metacity et/ou gtk, sinon il serait non-valide, enfin ces thèmes sont installés dans " ~/.themes ".
L'option "revenir" rétablit le thème précédent, et l'option "enregistrer le thèmes" enregistre le thème premier de liste c'est à dire "Thème personnalisé" en un nouveau tarball.
Le bouton "détail du thème" quant à lui permet d'avoir un thème personnalisé en mélangeant plusieurs éléments de chaque thème. Le thème de contrôle est tout simplement l'interface des tableaux de bords (même si non sélectionné, certain élément tel le menu utilise l'interface système), mais aussi le fond de fenêtre, le choix des fontes (et leur couleur), les barres de déplacement, les boutons, les menus, le surlignage, ... tout sauf les bordures de fenêtre, les icônes et le curseur; Il est géré par GTK (the Gimp ToolKit). Le thème de bordure de fenêtre c'est le thème qui encadre la fenêtre et qui gère la barre en haut de la fenêtre (avec un effet de couleur et d'écriture quand elle est sélectionnée ou pas), il est géré par metacity. Enfin, le thème des icônes (dossier système: " /usr/share/icons ", dossier personnel: " ~/.icons "), il est géré par gnome.

Et le thème du curseur !? Pas de panique, il faut utiliser l'utilitaire gcursor (installable dans un terminal : sudo apt-get install gcursor ou par synaptic : gcursor) disponible dans "système->préférences-> cursor selection" ou gcursor dans un terminal.
La fenêtre ressemble au sélecteur de thème, sauf qu'il y a un aperçu, dans le choix du nouveau thème de curseur il est possible choisir sa taille, et les curseurs peuvent être animés; Il sont gérés par GTK.

Thèmes pour metacity
- G-POD
Thèmes pour GTK1.0 et GTK+
et Thèmes pour GTK2.0
Thèmes d'icônes

- Glass Icons
Thèmes pour le curseur

- Tux Cursor
Thèmes complets:

- Darker theme
- MacOS-X
- e-MacsGreen

II - Personnalisation des modules divers

1. Avant le démarrage de la session graphique

Au démarrage de votre machine, vous vous retrouvez confronté à un gestionnaire multi-boot, LILO (LInuxLOader) ou celui plus répandu car plus performant GRUB. Son interface n'est pas recherché (un assemblage de ligne pour faire un cadre, une menu de caractère et une bande de surbrillance) car il n'est pas fait pour être esthétique mais performant, cependant vous pouvez mettre une image de fond de votre propre chef, il existe une méthode précise et des paquets supplémentaires à télécharger pour celui que vous avez, sur quoi l'article refusera de s'étendre car, bien qu'aide à la personnalisation, il traite uniquement de gnome et ses composants.

Quand vous avez choisi sur quoi booter, la main est passée, il est possible de changer le module qui chargera votre distribution, par exemple initNG qui accèlere grandement le démarrage et dont un tutoriel est disponible sur le forum d'Ubuntu-fr avec tous les problèmes rencontrés : http://forum.ubuntu-fr.org/viewtopic.php?id=16849&p=1.

Enfin, sur le terminal graphique, le choix de la session est geré par GDM (GNOME Desktop Menager). Pour apposer sa touche esthétique et personnelle, une fenêtre d'option est accessible à partir de système->administration->Configuration de l'écran de connexion, il faut être bien entendu administrateur et de ce fait entrer son mot de passe. Dans l'onglet Général plusieurs options peuvent être parametrées comme le choix d'utiliser le thème ou pas, changer le texte de la bannière ou la connexion automatique ou différée.
L'onglet bannière GTK+ propose de changer le logo de gnome, et venons-en, l'onglet bannière avec thème permet de choisir son thème GDM. Le thème choisi est celui selectionné, les thèmes au format tar.gz peuvent être installés en les faisant glisser sur la fenêtre ou par le bouton Installer un thème qui ouvre une fenêtre de navigation (Attention les dossiers du bureau et du dossier personnel sont ceux du root).
D'autres options sont paramétrables dans les autres onglets comme les sons dans accessibilité.

Thème pour GDM
- Sleek Dragon

L'image de conexion peut être visible sur GDM si activée dans système->administration->Configuration de l'écran de connexion et peut être modifiée par une image proposée ou par une image sur le disque dans système->préférences->Photo de conexion.

2. Peaufiner sa session

Il est possible de changer les sons de gnome pour la session de l'utilisateur courant (pour modifier les sons de gnome hors de la session, c'est à dire de GDM : système->administration->Configuration de l'écran de connexion et l'onglet accessibilité; un compte nouveau aura les sons par défauts), pour se faire un programme fenêtré est encore là pour plus d'accessibilité à système->préférences->Son, dans l'onglet Événements sonores.

Les sons des jeux de gnome sont dans cette fenêtre mais cela n'est guère interessant des les modifier. Les événements d'interface utilisateur sont modifiables mais comme par défauts ils sont courts et discrets, peu les change, remarquez qu'ils sont associés à gtk.
Les événements systèmes sont tout les petits sons fréquents du système ayant un message précis comme l'erreur ou l'avertissement.
Pour savoir quel son correspond à quoi, la fonction jouer est présente et lit le fichier si un son est selectionné.
Les sons doivent être au format *.wav pour être lus, pour changer un son il faut le selectionner puis cliquer sur parcourir pour indiquer son chemin absolu, si vous êtes seul à utiliser votre pc ou vous voulez faire profiter de vos sons à tout le monde je vous conseille de les mettre dans " /usr/share/sounds/dossier_de_vos_sons " sinon vous êtes toujours en mesure de créer un dossier caché dans votre Dossier Personnel " ~/.sons ".
La fonction Enlever retire le son selectionné, ce qui aura pour effet de ne jouer aucun son à cet évenement mais ne supprimera pas le fichier.

Sons pour événements système
- Linux Rocks


La configuration de l'écran de vieille se fait par système->préférences->Économiseur d'écran, le choix se fait entre la désactivation, l'économisation sans l'animation, le choix d'un économiseur ou l'économisation d'écran aléatoire parmi ceux cochés. Les temps peuvent être modifiés et chaque économiseur est paramétrable, enfin d'autres options sont disponibles dans l'onglet Avancé.

3. Manipulations avancées et diverses
  • Créer des modèles de documents : Les modèles de document permettent de créer un fichier d'un type déjà défini qui serait disponible dans Créer un document, pour ce faire créer un dossier appelé " Templates " dans votre dossier personnel, ou cliquez sur Allez à->modèles dans nautilus et enregistrez-y vos modèles, par exemple ouvrez OpenOffice Writer créez votre modèle de ce type.
  • Activer/Désactiver le pavé numérique au démarrage de la session automatiquement : Numlocks (apt-get install numlockx) s'occupe de modifier le statut de verr num au démarrage, une fois installé l'activer numlocks on dans un terminal.
  • Modifier le menu des applications : applications->outils sytème->Éditeur de menu d'application ou clic droit sur le menu, vous pouvez rajouter, enlever ou modifier les menus d'applications et les raccourcis vers les programmes qu'ils contiennent.
  • Personnaliser Nautilus : Par défaut nautilus est le navigateur integré à gnome. Dans le menu edition->préférences, plusieurs options sont paramétrables (comme la possibilité de supprimer un fichier sans passer par la corbeille maj+suppr). Dans arrière-plans et emblèmes, il est possible d'ajouter une image du disque dans les motifs, de choisir une nouvelle couleur ou de créer de nouveaux emblèmes, les motifs et couleurs peuvent être glissés sur la fenêtre nautilus afin de l'appliquer en arrière-plan. Pour s'y retrouver, vous pouvez créer des signet (dans signets->créer signet ou en le faisant glisser dans le menu raccourcis) qui apparaîtront dans le menu raccourcis, dans la barre latérale de nautilus (en navigation mais aussi en recherche de fichier) et dans le menu signet.
  • Mettre une icône personnalisée ou un emblème aux dossiers ou aux fichiers : En cliquant du bouton droit puis propriété sur un fichier ou un dossier, une fenêtre s'ouvre dans laquelle une option offre la possibilité de changer l'icône par défaut associée au type ou de remettre cette icône; Dans le second onglet un jeu d'emblème s'affiche, on peut en appliquer une autant que toutes, ils ont pour but de mettre en valeur un élément sur ce fichier comme par l'emblème représentant un bureau pour le dossier Desktop.
  • Afficher ses disques dur sur le bureau et dans le poste de travail : Si un disque est monté dans " /media/point_de_montage ", point_de_montage apparaîtra sur le bureau, dans le poste de travail, dans les panneaux latéraux, dans les menus, etc. Un ftp est aussi visible sur le bureau, pour y avoir un accès permanant, autant ne pas le démonter et peut-être enregistrer le mot de passe.
  • Avoir ses paramètres en sûreté : Tout problèmes peut survenir, tout les paramètres d'un utilisateur sont stockés dans son dossier personnel sous forme de dossier caché, si l'on modifie un logiciel mais qu'on veut garder ses anciens paramètres, le dossier peut-être copié (afficher les dossier caché dans nautilus ou ctrl+H), puis restauré plus tard (attention le logiciel doit être inactif, pour des sauvegarde de gnome ou d'un module en permanance actifs il est conseillé de fermer sa session graphique et ouvrir un terminal ctrl+alt+F1 pour opérer). Pour mettre les comptes utilisateurs à l'abris de tout accident, monter une partition dans " / home ".
  • Configuration des espaces de travail et conservation : En cliquant sur bouton droit puis préférences sur le sélecteur d'espace de travail, il y a plusieurs options comme sur combien de lignes afficher son sélecteur ou nommer les espaces de travail. Le premier espace de travail est celui permanant, le second pourrait être celui multimédia et les autres seraient seulement pour revenir au bureau ou pour faire une manipulation; Alors dans l'espace multimédia, si on a choisi xmms en lecteur audio, on pourrait essayer de l'intégrer esthétiquement et de le personnaliser et d'ouvrir le dossier dans lequel sont nos *.mp3. À la déconnexion, cocher Enregistrer la configuration actuelle et au redemarrage les fenêtres seront disposées comme on les as laissées, avec notre espace multimédia.
  • Mieux intégrer la liste de fenêtre : Clic droit sur une zone vierge de la liste de fenêtre et préréferences donne accès à un fenêtre proposant de parametrer le comportement et la taille de la liste des fenêtres afin de modifier leur intégration, la taille du tableau de bord influe également sur la liste des fenêtres.
  • gDesklets : Il permet d'ajouter des applets utiles ou pas gérant la transparence, sudo apt-get install gdesktels, pour les applets voir google. Je ne m'étendrais pas sur l'utilisation car je ne trouve pas ce logiciel si interessant qu'il parait et de plus il prend de la mémoire.
  • Avoir un presse papier plus adapté : Téléchargez le gnome-clipboard-daemon puis faites en sorte qu'il se lance au démarrage, il remplacera le presse papier de gnome en permettant entre autre de conserver les informations collées quand la source est fermée. Un autre presse papier plus compétant est glipper, il gère plusieurs entrées en même temps dont une active (qui peut être choisie d'un clic), on l'accède via une icône de notification.

Maintenant votre Gnome a une bien meilleure mine, ne reste plus qu'à choisir les logiciels qui conviennent, et à chercher fonds d'écrans et thèmes supplémentaires.

15 avril 2006

Warcraft II

Six ans ont passés depuis la première guerre entre Orcs et Humains.
L'armée d'Azeroth jadis si puissante gisait parmi les ruines noircies et dévastées du fort de Stormwing. Les rares survivants n'eurent d'autres choix que de fuir au delà de l'océan majeur, marqués par les terribles souffrances que leur avait infligé la redoutable horde des Orcs.
Pressés de guerroyer à nouveau, les Orcs entamèrent promptement la construction d'embarcation afin de franchir l'océan majeur, brûlant d'ouir le vacarme des épées qui s'entrechoquent et de voir le sang couler à flot, voguèrent bientôt vers de lointains horizons.
Les Humains appareillaient les armes forgées par leurs nouveaux alliés, s'apprêtèrent à la hâte pour contrer l'assaut tant redouté. D'aucun chargèrent les canons des Nains pendant que d'autre s'armèrent d'épées et revêtirent les côtes de mailles fabriquées de mains expertes par les Elfes.
Uni devant un seul et redoutable ennemi, les Humains et leurs nouveaux alliés attendirent vaillamant sur la rive de la destinée, la déferlante vague des ténèbres.

28 mars 2006

Une Bonne Blague Indienne

Voici la blague que j'ai lue tout à l'heure (attention: sérieusement comique)
Internet Explorer est le meilleur navigateur au monde : C'est ce qu'affirme sans vergogne Rishi K Srivastava de Chez Microsoft Inde. Il affirme envers et contre tout que le succès d'Internet Explorer n'est dû qu'à une seule et unique chose : sa qualité irréprochable...
Selon Rishi Srivastava (ça va, et toi ?), le succès du navigateur Internet Explorer n'est pas imputable au fait que celui-ci soit intégré à Windows, Système d'exploitation déjà le plus répandu au monde. Non. Selon lui, Internet Explorer est populaire parce que c'est un navigateur Web de qualité. “La raison pour laquelle les gens n'optent pas pour d'autres navigateurs est tout simplement due à la supériorité d'IE. Si vous avez en votre possession un meilleur produit, pourquoi en changer ? IE est bien plus sécurisé et seulement une grande entreprise comme Microsoft peut investir autant dans la sécurité”. Pour finir, et pour expliquer le nombre grandissant d'utilisateurs de Firefox face à un IE légèrement en retrait ces derniers temps, il explique que seuls les techniciens cherchent à découvrir d'autres navigateurs, les utilisateurs “moyens” sont selon lui plus à l'aise avec IE.

26 mars 2006

Quelle est votre distribution de prédilection?

À ce lien, vous pourrez faire le test (en anglais) qui vous dira quelle est la distribution qui vous convient le mieux.

Je suis tombé sur Debian et Ubuntu^^, comme quoi ce test marche bien.

19 mars 2006

Test Du Xgl sous Kororaa Linux

Ce week end là, j'ai testé le - très attendu et incontesté - Xgl de Novell, qui devient opérationnel sur de plus en plus de distributions depuis sa présentation au salon Solution Linux sur Suse Linux (le produit phare de la firme). Visuellement il est plus beau que Vista et plus performant que Tiger, et du point de vu du code, il est très optimisé !

Prochainement j'utiliserai le Xgl sous Ubuntu Dapper Drake mais avide de vouloir le tester j'ai téléchargé le Live CD de Kororaa (c'est un dérivé de Gentoo) spécial Xgl. Donc à prendre en compte que je l'ai testé avec le système installé dans la mémoire vive et en anglais (ça c'est pas un problème mais une indication, l'impossibilité d'azerty est gênante) . Le chargement du noyau et du système n'est pas long (en moyenne 4 minutes sur mon 1800+ et 512SDR) .

Le résultat est incontestablement impressionnant, j'ai cumulés plusieurs effets qui, apparemment, devaient être gourmands et jamais je n'ai eu de quelconques ralentissements. La puissance du Xlg est difficile à expliquer à l'écrit, le mieux étant de le tester.

Parmi les effets, certains sont des gadgets (comme les objets 3D), mais les autres ne sont pas seulement là pour l'esthétique (comme les vidéos en fond d'écran, les écrans de veille sans fond qui s'appliquent sur le bureau visible, les effets de transparence des thèmes, les effets de 3D des menus, les effets de glissement au déplacement des fichiers sur le bureau, ou encore les effets d'ondulation au déplacement des fenêtres) mais pour leur utilité, voici la liste des principales fonctions et leur utilisation :
  • Sélecteur de fenêtre Alt + Tab : Déjà connu pour changer de fenêtre rapidement, maintenant le contenu des fenêtres est affiché et actualisé, qu'elles soient textes ou vidéos.
  • Voir toutes les fenêtres F12 : Réduit la taille en pixel (pas en dimensions) de toutes les fenêtres de l'espace de travail courant et les replace les unes collées aux autres afin qu'on puisse toutes les voir sur l'écran; Au clic sur l'une la position et la taille des fenêtres sont restaurées mais celle sélectionnée passe au premier plan.
  • Changer d'espace de travail du cube Ctrl + Alt + touche directionnelle droite ou gauche : Passe sur l'espace de travail de droite ou de gauche avec un effet de rotation.
  • Changer d'espace de travail du cube en gardant la fenêtre active Ctrl + Shift + Alt + touche directionnelle droite ou gauche : Passe sur l'espace de travail de droite ou de gauche avec un effet de rotation du cube et de la fenêtre active qui change elle aussi d'espace.
  • Roter le cube Ctrl+ Alt + Clic gauche sur le Bureau : Rote le cube dans toutes les dimensions à la souris, s'il est sur une arrête il se repositionnera avec un effet toujours aussi élégant.
  • Changer la transparence Ctrl + Shift + Roulette de la souris(ou monter : Rend la fenêtre plus opaque ou plus translucide.
  • Zoom-in Touche Windows + Clic Droit : Zoom la fenêtre.
  • Zoom-in manuel Touche Windows + Roulette de la Souris : Zoom manuel.
  • Zoom-out manuel Touche Windows + Roulette de la Souris : Dézoom manuel.
  • Déplacer la fenêtre Alt + Clic droit ou Clic sur la bordure barre de titre : Déplace la fenêtre avec la souris avec un effet de déformation.
  • Déplacer la fenêtre en cognant les bords Alt + Ctrl + Clic droit ou Ctrl + Clic sur la bordure barre de titre : Déplace la fenêtre avec la souris en appliquant une collision sur les bordures et entre les fenêtres provoquant une déformation, en plus de celle du déplacement, comme si on écrasait fenêtre.
  • Redimensionner la fenêtre Atl + Clic Droit : Change les dimensions de la fenêtres avec un effet sur les bordures.

05 mars 2006

Ubuntu Linux : Dapper Drake

« Quelqu'un d'ubuntu est ouvert et disponible pour les autres, dévoué aux autres, ne se sent pas menacé parce que les autres sont capables et bons car il ou elle possède sa propre estime de soi — qui vient de la connaissance qu'il ou elle a d'appartenir à quelque chose de plus grand — et qu'il ou elle est diminué quand les autres sont diminués ou humiliés, quand les autres sont torturés ou oppressés. »
Citation d'après l'article de wikipedia sur Ubuntu http://fr.wikipedia.org/wiki/Ubuntu
Edit: Dapper Drake ne sortira finalement que le 1er juin et aura comme numéro de version 6.06, proposant une solution face à Vista qui ne sort qu'en fin d'année, ne pas se presser et décaler de deux mois est une bonne idée pour peaufiner.
Redit: Face au retard annoncé de Vista, Ubuntu a encore de l'avance, un nouveau retard de six mois à été annoncé car cette version sera proposée aux entreprises et qu'elle doit de ce fait être irréprochable, cependant en juin le système sera déjà stable et en octobre il devrait être parfait (et accru de quelques nouveautés).

Cette nouvelle version d'Ubuntu achèvera avec succès le premier cycle de développement de cette fameuse distribution - composé de Warthy Warthog, Hoary Hedgehog, Breezy Badger et Dapper Drake - qui a réussi à se faire connaître et imposer son choix parmi les Grands - en dérivant de Debian - (J'en cite et des meilleurs, mais je ne parle aucunement de Windows).

Au fur du temps, Ubuntu (qui utilise gnome) s'est décliné en variante donnant naissance à de nouvelles distributions (alors que Ubuntu est lui-même un dérivé de Debian), en autre Kubuntu (qui utilise KDE comme environnement graphique à la place de Gnome), Edubuntu (développé pour l'éducation, il peut utiliser gnome, KDE ou Xfce), Xubuntu (qui utilise Xfce à la place de gnome), Ebuntu (il n'est pas encore sorti mais il utilisera l'environnement graphique Enlightenment 0.17 à la place de Gnome, les logiciels installés à la base devraient être différents eux-aussi), nUbuntu (version d'Ubuntu spécifique aux serveurs et aux réseaux), Knoppix (dérivé d'Ubuntu utilisant KDE), Gnoppix (équivalent de Knoppix élaboré pour Gnome) et Goobuntu (dérivé d'Ubuntu prévu par Google mais seulement au sein de la firme).
La mise à niveau de Dapper Drake concernera Ubuntu, Kubuntu, Edubuntu, Xubuntu, Ebuntu et nUbuntu en CD d'installation et en live CD.

Elle est pour l'instant au stade de différentes versions bêta (flight 1 à 5) disponible en CD d'installation autant qu'en live CD (système aux capacités restreintes tenant sur un CD et n'ayant besoin que de supports de mémoires volatiles pour son exécution, il sert principalement à avoir un aperçu du SE).
Cette version sera la 6.04 (de l'année et du mois de sortie : 2006/04(avril)) puisque qu'elle sera disponible au téléchargement en version finalisée le 20 avril 2006. Ubuntu sera considéré comme un système fini et supporté par des MAJ (mises à jour) du système - et forcement des paquetages et du noyaux par le biais des dépôts - ; Et comme une solution face à Windows Vista ( le nouveau de Microsoft, celui bugué qui rattrape son retard en copiant - mal voire de façon à rajouter de jolies failles - les fonctionnalités de ses principaux concurrents, ne citons pas comme exemple de nouveautés IE7(Internet Explorer 7) qui a connu la faille de sécurité la plus rapidement découverte de l'histoire par rapport à son envergure soit 15 minutes après la publication de la première version bêta du logiciel).

En effet, les nouvelles fonctionnalités sont pour certaines alléchantes:

  • Au niveau de l'installation, le live CD et le CD d'installation seront confondus c'est à dire que les deux méthodes seront possibles à partir d'un même CD (ça signifie également un seul téléchargement si le live vous a plu et que vous vous décidez à installer le système). L'installation depuis le CD au démarrage se verra peaufinée d'une apparence graphique (en autre un système de fenêtrage, rappelez vous la perfection de Mandriva sur ce point), mais l'installation ne sera plus forcement effectuée au démarrage du PC depuis un support amovible comme tout système qui se respecte ou non car elle sera désormais possible à partir d'un exécutable Microsoft Windows(*.exe) !

  • Au niveau du système, les menus ont été revus car certains éléments n'étaient pas à leur place ou n'étaient pas du tout dans le système de base (et s'installaient donc en tant qu'applications plutôt qu'en tant qu'outils d'administration). La fenêtre de déconnexion se voit elle aussi améliorée puisque de la fenêtre classique elle passe à une fenêtre stylisée aux boutons esthétiques et, de quatre actions disponibles elle en propose six en regroupant celles existant auparavant par les différents boutons (fermeture et verrouillage). La mise à jour comportera une amélioration elle aussi et une technologie permettra les communications d'ordinateurs sur un réseau sans configurations. Le temps de démarrage du système qui était relativement rapide (plus que celui de windows mais surtout qui ne ralentissait pas avec le temps et l'ajout d'éléments contrairement à ce dernier) est accéléré. L'arrêt de l'ordinateur devient graphique. L'installation des paquets Debian(*.deb) pourra se faire par un double-clic (au même titre que les fichier *.msi(Microsoft Setup Installer) sous Windows, ou que les exécutables(*.exe) ayant fonction d'installeur, c'est à dire comme des fichiers binaires Linux qui décompresse des fichiers à des endroits mais qui sont plus rares car l'intégration aux menus et au système varie). Le rapport de bug sera amélioré pour répondre mieux et plus vite à la demande bien qu'il soit déjà suffisamment performant.

  • Au niveau du matériel, la prise en charge des nouvelles cartes graphiques est agrandie comme avec la plupart du matériel récent. La détection du matériel est plus performante, en particulier pour le wifi et le système intégrera sûrement un firewall.

  • Au niveau des logiciels et des paquets, certains logiciels seront ajoutés de base étant jugés nécessaires, par exemple gparted qui se placera dans le menu administration. La possibilité de recherche de fichiers et de dossiers présente dans le menu raccourcis passe aussi dans Nautilus. Notre suite préférée OpenOffice.org (OOo pour les intimes) sera mieux intégrée au système. Une nouvelle version (modulaire) de X arrivera. Les dépôts seront bien entendu mis à jour avec l'attendue dernière version de firefox, la nouvelle version de gnome et de rythmbox mais aussi l'ajout d'un logiciel de téléphonie. Pour finir, la majeure amélioration est l'intégration du Xgl qui est un environnement graphique en 3D ! Il est bien plus impressionnant que Vista(Windows) ou Tiger(MacOS X), il gère une multitude d'effets (transparence, collision des fenêtres, sélecteur de fenêtre, agrandissement et réduction, fluidité des différents bureaux sur le cube, débordement d'une fenêtre d'un bureau à l'autre sur une arrête du cube, ...) mais surtout place les bureaux sur un cube 3D où chacune des faces peut accueillir des effets 3D (particulièrement des widgets) en avant plan ou en fond d'écran, il n'est pas installé de base mais il est supporté (pour l'instant seule cette distribution et la dernière version de Suse le supporte).

Les versions flights sont toujours disponibles pour les mêmes architectures que leurs anciens homologues soit le PC (intel x86, i386), le MAC (PowerPC), le 64-bit PC(AMD64, x86_64) (elle supporte également non-officiellement de nouvelles architectures : HPPA, ia64 et SPARC) à ce lien :
Ubuntu Dapper Drake (sélectionnez la dernière flight puis téléchargez l'image du live ou de l'installation, vous pouvez vérifier si votre fichier image n'est pas corrompu grâce au MD5SUM disponible correspondant à votre version)

L'ordinateur ne requiert que 32Mo de mémoire vive minimum pour faire fonctionner Ubuntu. Pour la version Live vous pouvez enregistrer vos paramètres et logiciels téléchargés sur une clé USB par exemple pour les amener où vous le souhaiter et lancer votre live paramétré de n'importe quelle machine (à condition d'avoir le Live correspondant à l'architecture de celle-ci).

Je vous conseille vivement de le tester puis de l'adopter !
...Et de Braver le nouveau monde Ubuntu
...en arborant "Linux pour Êtres Humains"
...et " Humanité aux autres "
... signification en Africain Ancien(en bantou) d'Ubuntu
...correspondant littéralement en Français
...à : "Je suis ce que je suis grâce à ce que nous sommes tous"

05 février 2006

Heart Invader II

Voilà, mon dernier projet en SDL en C est terminé.
C'est un remake de space invader mais avec les coeurs de msn en ennemis. Voilà il n'y a rien d'autre à ajouter.

Il est disponible au téléchargement pour Linux et pour Windows.

Commandes :
- Flèches directionnelles droite et gauche pour le déplacement
- Espace pour tirer
Options(dans le fichier config) :
- Largeur width = 300 par défaut
- Hauteur heigth = 275 par défaut
- Vie(s) des ennemis VIE = 1
- Vitesse des projectiles VIT = 1 jusqu'à 2 maximum
- Temps de déplacement des ennemis TPS = 1 (encore en phase d'expérimentation, disponible : supérieur à 1)

Possibilité de changer les médias dans le dossier "/medias" au format *.bmp en changeant le nom (les paramètres seront initialisé pour le nouveau média sauf pour les projectiles du vaisseau)

21 janvier 2006

02 janvier 2006

Notification de Bug d'Ubuntu

Edit après quelques années d'utilisation d'Ubuntu : J'ai vu Ubuntu devenir un système très performant, tout ces petits bugs ou bizarreries ont disparus, et toutes les manipulations auparavant chiante à faire (relancer une application quand elle n'a pas le son, je pense à firefox pour regarder une video en streaming alors qu'un player audio était déjà lancé) ne sont plus. En résumé, ce post n'a plus lieu d'être puisque ces bugs sont réparés et il en existe de nouveaux.

On dit qu'il n'y a pas de bug sous Linux mais il y en a, moins que sous Windows mais le noyau n'en est pas exempt, toutefois certains bugs proviennent plutôt de la distribution que du noyau.
Voilà une liste faite dans le temps qui répertorie les bugs plutôt bizarres que j'ai pu avoir :

Bug -> version d'Ubuntu -> Responsable présumé -> fréquence(dates)
Impossibilité d'interagir avec les fenêtres (réduction, déplacement,...) même en reconnectant la session -> Ubuntu 5.10 Breezy Badger -> Metacity -> une fois(mardi 21 mars 2006)
Au lieu d'ouvrir le moniteur système comme demandé la session se verrouille et renvoie à l'écran de démarrage -> Ubuntu 5.10 Breezy Badger -> Responsable inconnu(le système?) -> une fois(samedi 11 mars 2006)
Les tableaux de bords quittent inopinément, un message d'erreur venant directement de gnome indique qu'ils sont déjà lancés, en cliquant sur OK les tableaux de bords apparaîsent puis disparaîssent et la fenêtre d'erreur réapparaît, et ainsi pendant plusieurs clics (environs 10) -> Ubuntu 5.10 Breezy Badger -> Gnome 2.12.1 -> deux fois(mars 2006)
Les tableaux de bords refusent de se lancer, un message d'erreur venant directement de gnome indique qu'ils sont déjà lancés, en cliquant sur OK les tableaux de bords apparaîsent puis disparaîssent et la fenêtre d'erreur réapparaît, et ainsi pendant plusieurs clics (environs 10) -> Ubuntu 5.10 Breezy Badger -> Gnome 2.12.1 -> une fois(dimanche 5 mars 2006)
RAPPORT[samedi 4 mars] : Comme on peut le voir il y a très peu de bugs, par ailleurs je n'ai pas précisé les bugs qui viennent de moi mais qu'en plus j'ai résolu, comme une erreur qui empêchait le chargement de gnome dûe à plusieurs manipulations sur le montage d'une nouvelle partition en /home
Mozilla quitte instantanément lors d'un clic ou d'un appuie de touche -> Ubuntu 5.10 Breezy Badger -> Mozilla Firefox 1.0.7 et 1.5-> quelquefois(2005 et début 2006)
Gaim quitte instantanément sans raison -> Ubuntu 5.10 Breezy Badger -> Gaim 1.5 -> quatre fois(2005 et 2006)
La musique d'un site est jouée en boucle sans arrêt même après fermeture de mozilla et après fermeture de la session, elle s'arrête seulement après extinction de ALSA par le noyau -> Ubuntu 5.10 Breezy Badger -> Probablement le noyau Linux 2.6.12-10 ->une fois(02/01/06)
Ecran noir puis redemarrage instantané lors d'inactivité -> Ubuntu 5.10 Breezy Badger -> Responsable inconnu(gnome? le système? le noyau?) -> une fois(02/01/06)

New Design

J'ai customizé mon espace de travail (Gnu/Linux Debian - Ubuntu -, Gnome+metacity, nautilus) que vous avez pu voir sur les screens de ppracer.
Et voilà le rendu, pas mal non?

01 janvier 2006

Bonne année

Bonne Année 2006 ! ... et Bonne Santé:p
Meilleurs voeux !